bobono yazdı:
C est à dire je casque deux fois pour un même service
Şey, biraz basit ...
La santé de tous a un coût (hopitaux, médecins, analyses, médicaments, SAMU, ambiances, etc etc etc). Rien de tout cela n'est gratuit.
Les luttes sociales (ne l'oublions pas) on aboutit à une mutualisation de ce coût. Nos ancêtres (fort intelligemment, je trouve) ont trouvé injuste que le coût d'un pépin de santé repose sur les seules épaules de celui à qui cela arrive... On a trouvé plus intelligent que chacun paye un peu, tout le temps, en fonction de ses revenus... Et cela paye le pépin de celui à qui cela arrive, sans qu'il ne se retrouve dans la misère ou sans soins...(en plus d'être malade).
Je trouve cela noble. C'était une preuve que l'homme puet être collectivement intelligent.
Bugün, genel maliyet her yıl artmaya devam ediyor. Katkılar durgunlaşıyor ("çok fazla suçlama"!) Veya hatta geriliyor (işten çıkarmalar) ...
Yani mekanik açık.
Her iki tarafta da köşeyi kesiyoruz: a) belirli maliyetleri sınırlamak (jenerikler, hastanelerin rasyonalizasyonu / kapatılması, personel üzerindeki "pro-cutivist" baskılar; başka yerlerde hizmet kötüleşiyor: Acil Servis'e bir göz atın!); başka bir yerde, bakımı sınırlandırıyoruz - eğer, eğer, zaten mevcutsa, b) politik olarak suçlamaları artırmak düşünülemezse, desteği azaltırız ve karşılıklılara aktarırız (bu sadece gizli bir biçimdir özelleştirme; sahip olmayanlar için çok kötü ...
Bref, tu payes par deux voies différentes un service dont le coût ne cesse d'augmenter dans un pays qui s'appauvrit. Cela me parait plus juste...
Et je te souhaites de payer pour rien ! Si tu savais ce que je regrette d'avoir fait un infarctus (certes, mécaniquement bien soigné, mais je reste amoindri, affaibli - j'aimerais beaucoup avoir payé pour rien).
Bref aussi, les gens râlent. Je comprends. En même temps, n'est-ce pas l'individualisation qui gagne. Tant qu'on est en bonne santé, sans doute que l'individualisme est la meilleure solution (apparente)...
PS : aux USA, il y en a qui se retrouvent à la rue pour ça (s'ils n'ont pas d'assurance privée ; ils peuvent être soigné à condition de gager leur maison ; un coup de chômage, et c'est la maison qui est partie - c'est un choix social qu'ils ont fait, ils l'appellent la libre entreprise).